Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge.
Winston Churchill était un sage 😇
L’émergence des nouvelles technologies dans les années 90 et l’évolution de l’écosystème des start-ups ces dix dernières années, avait déjà bousculé les systèmes d’information, d’organisation et de management des entreprises. Les strates hiérarchiques, les circuits de validation, les relations internes, les process métier perdaient en lourdeur bureaucratique et gagnaient peu à peu en agilité. Le processus de transformation digital était entamé et le modèle d’organisation du XXIème siècle, en train de se créer.
Puis vint la crise sanitaire, le confinement et la marche forcée vers le télétravail. L’entreprise devant soudain s’adapter à des enjeux sociétaux et environnementaux bien plus complexes pour être en phase avec la réalité.
Crise managériale, nouvelle organisation, manque de projection, plus que jamais, l’organisation doit être auto-apprenante, c’est-à-dire développer une capacité des équipes à faire face aux événements hors-normes par un ensemble de processus, d’outils et de modes de travail.
Si l’enjeu principal est bien plus culturel que technologique, l’agilité des outils digitaux collaboratifs permettra aux salariés de synchroniser l’information et d’homogénéiser leurs process à distance.
La mise en place d’une structure horizontale encadrée, apportera, quant à elle, la souplesse et la flexibilité nécessaires à l’entreprise pour assurer la pérennité de son activité sur le marché, en ces temps instables.
Se réinventer, mieux collaborer, gagner en autonomie, perdre en chronophagie, se recentrer sur l’humain et ne pas cesser d’apprendre… que d’opportunités à saisir pour traverser la crise sanitaire et économique, à suivre, en gagnant, malgré tout, en efficience.
Un défi passionnant pour les acteurs du Digital Learning et de la conduite du changement !